Haku a une apparence un peu atypique bien que très agréable. Il a un beau visage, aux traits fins, et des yeux d'un bleu très clair, ce qui lui donne un regard perçant et parfois froid comme la glace. Il a des cheveux mauves aux nuances violacées, qu'il attache le plus souvent en queue de cheval, bien que les cheveux détachés lui aillent parfaitement également.
Son style est un peu excentrique : il s'habille comme un samouraï, et il n'est pas rare que les gens se retournent sur son passage lorsqu'il marche dans la rue.
Mais sa beauté n'y est pas pour rien non plus, car le physique d'Haku est plutôt avantageux : grand, relativement bien bâti bien qu'un peu trop mince, et surtout attirant de par l'aura qui se dégage de lui. Car le jeune homme est un mystère qui attend d'être percé, et cette atmosphère mystérieuse se ressent autour de lui, suscitant la curiosité et souvent le désir.

Cette aura ne fait que contribué à son charisme, car même si Haku est effrayant parfois, avec ses sautes d'humeur soudains et son visage tantôt carnassier, tantôt froid ou inexpressif, il n'est jamais parvenu à se retrouver complètement seul.

Description générale
Comment décrire le caractère de quelqu'un qui ne sait plus lui-même qui il est réellement ?
Haku peut être distant et froid comme la neige d'hivers, ou au contraire brûlant comme les flamme de l'enfer. La passion s'allume parfois dans son œil comme un brasier qui consumerai qui aurait le malheur de s'approcher trop près. Haku est un dragueur, pour ne pas dire un tombeur, mais il ne fait bien souvent que s'amuser. Ou peut ne fait-il que de se chercher lui même ? Quoi qu'il en soit, il ne tarde pas à se lasser. Mais c'est aussi une façon pour lui de ne pas s'attacher. L'attachement est pour lui une faiblesse, et Haku à toujours renvoyé l'image de quelqu'un d'intouchable, d'un prédateur et non d'une proie.
Il est pour cela très mystérieux. Il ne fait confiance à personne, recherche le conflit, c'est sa façon à lui de s'affirmer à tout prix.
Quand il est las de chercher la bagarre, il recherche alors la solitude. Mais les autres, attirés par cet homme fort et énigmatique, recherchent, au contraire, sa compagnie.

Il porte un masque continuellement, mais le porte si bien que personne ne s'en rend compte. Si quelqu'un parvenait à le briser enfin, il pourrait découvrir en dessous un visage infiniment plus doux.
Petite Fiche :
Hobby : Le théâtre, la lecture, la guitare (il a commencé deux ans plus tôt), tout ce qui a traits aux arts en général. Au niveau des sports, il pratique l'escrime.
Il aime : La nature, les arts, le sexe (ah ah !), le café, les rapaces, la nuit, les vieilles photos effacés par le temps, les armes blanches et les fringues excentriques, la culture japonaise, la tranquillité et, par opposition, les relations conflictuelles.
Il n'aime pas : La prétention, les "petite frappes", l'alcool, la chaleur, le pollen (allergies...), la fourberie, les romans d'amour, la couleur grise, les artichauts, les gens qui le dérangent quand il veut être seul.

Haku aurait pu, aurait dû finir mal, voir même très mal. Sa mère est morte quand il est né, il a vécu seul avec son père, désespéré par la mort de sa femme, qui a plongé dans l'alcool. Et si, par chance, ce dernier ne l'a jamais frappé, Haku n'a jamais reçu une once d'amour paternel.
Mais le plus dur dans tout ça c'est que le garçon habite dans les quartiers pauvres, ceux où la loi du plus fort et la seul et unique loi qui s'applique. Et le jeune homme a choisi de faire parti des forts et non des faibles, étouffant sa conscience qui lui disait de fuir tout ceci et d'arrêter les crimes et les délits.
Haku était membre d'un petit gang à l'époque, qui commettait des infractions et qui était plutôt respecté dans le quartier. Le garçon était bien obligé d'y prendre part, pendant un temps, il faillit bien devenir comme eux. Une brute cruelle, sans sentiments, terrorisant les "faibles" et dont le seul but est de détruire tout ce qui a été construit auparavant par d'honnêtes gens.

Ce fût le théâtre qui le sauva. A l'époque où Haku fréquentait encore l'école, il côtoyait un club de théâtre, qui l'avait fait s'épanouir pendant un temps. Mais le club a fini par fermé et Haku a commencé à s'embourber dans ses problèmes et dans sa vie de forfaits.
A l'automne de ses 17 ans, un club à ré ouvert dans sa ville. C'est d'abord par curiosité qu'il l'a rejoint. Puis a continué à y aller par envie. Puis par besoin. Et cette activité saine n'a pas tardé à porter ses fruits : Haku s'est retrouvé lui-même, et en se retrouvant lui-même il a dû se frotter au gang.
On ne quitte jamais un gang de petites frappes sans en subir le prix, car tout ce paye ici bas. Et l'ex-vaurien en a payé le prix fort, tabassé si violemment qu'il lui fallut une journée entière pour se trainer jusqu'à chez lui. Ce qui ne l'a pas empêcher de continuer le théâtre, sa passion, son échappatoire. Qui n'est pas pour rien au talant d'Haku à dissimuler qui il est réellement aux yeux des autres.
Mais Haku savait qu'il ne pourrait resté éternellement dans ce quartier maudit, rempli des ombres de son passé. Il ne ferait pas de vieux os ici, maintenant qu'il est seul et que son ancienne bande s'est retournée contre lui.
Alors il a décidé de partir, dans un pensionnat d'art dont il a entendu parlé et qu'il a fait vœu de rejoindre : Le pensionnat Shuwan. Il laisse derrière lui son père, mais non sans regrets, car si Haku n'a jamais reçu d'amour de celui-ci, ce n'est pas faute de lui en avoir donné.
Un nouveau départ commence maintenant.

Tu nous donnes ton petit nom ? Non :p
C'est quoi ta date d'anniversaire ? Septembre 1996
Tu te débrouille comment en RP : Ça va faire d'année que je n'en ai pas fais, alors j'attends de voir pour vous dire xD Tu seras là souvent ? La encore, je peux pas trop dire... Si le forum me plait je serais plutôt présente pendant les vacances, mais après je rentre en première S donc ça va être plus chaud x)
On t'a pas encore demandé, mais pourquoi t'es là ? Comment tu as trouvé ce forum ? Ça fait longtemps que je voulais me remettre au RP. Et Hyllah Kusakabe vous a fait de la pub :p.