Un mètre soixante cinq, voilà à quoi vous avait à faire. Une petite boule énergétique encore et toujours sur ces petites jambes, à trente ans. D'ailleurs, son poids reste un secret que même son compagnon ne sait pas, Lei n'aime pas donner trop de détail sur sa corpulence. Disons que sa petitesse la pénalise déjà assez bien. Mais tout n'est pas petite chez elle... D'accord, sa poitrine n'est pas à tenir pour exemple, je sais! Ses seins sont... Normaux? Oui, malheureusement ou...? D'accord! J'ai compris, j'arrête. Enfin, pour la taille de la chinoise, ils sont plutôt... gros? Bon, prenez juste en compte qu'elle a eu un enfant... Pas suffisant, vous dîtes? Bon bah tant pis. En faite, je n'ai pas grande chose à dire sur son physique. Une peau d'un blanc éclatant et des cheveux roux orangé pour contraster avec ses yeux d'un bleu clair éblouissant. Ses cheveux sont, la plus part du temps, toujours attachés, mais cela n'empêche pas certaines mèches se balader sur son visage, qu'elle remet en place d'un geste rapide.

Comment vous décrire son style vestimentaire qui est... complètement chinois! Dans le pure style, comment on n'en fait plus. Cependant, étant une «motarde», sa tenue s'accorde toujours de manière à ce que ses mouvements sur l'engin soit possible. Elle se balade donc toujours avec une sorte de tee-shirt sans manches, coupé juste au-dessus du nombril. Elle fait toujours rêver les hommes, ce qui inquiète son compagnon. Et ne parlons par de sa jupe... Bien sûr, elle est longue, lui arrivant bien plus bas que les chevilles, mais elle est complètement fendu! Enfin, il ne reste plus grande chose pour garder une sorte de jupe. Mais ne vous amusez pas à soulever cette dernière car... elle porte non seulement des collants noirs, mais aussi un short très court et très collant noir. Bah oui! Que croyez-vous, Lei n'est pas une allumeuse non plus, elle es M-A-R-I-É-E! Donc, pour couronner le tout, la chinoise porte toujours des bottes, basse ou haute, tout dépend de son envie actuelle. Mais tout ça reste dans un style assez chinois. Pour rien au monde elle ne renierait sa patrie. De plus, elle porte toujours des «lunettes», qu'elle qualifie d'indispensable pour sa conduite, sur sa moto dans un style totalement rétro mais adorable.

Une chinoise au caractère à la fois doux mais autoritaire. En effet, Lei est une femme qui n'a fait qu'acquérir plus d'assurance et d'autorité après la naissance de son fils, ainsi que faire quelques pas sur les planches. Prioritairement, Lei est quelqu'un de prévenante, elle commencera par vous prévenir gentiment que ce que vous êtes entrain de faire, c'est mal. Après, certainement trop rapidement pour vous, elle va certainement haussé la voix pour finir par hurler. Sachant que la violence ne sert à rien pour apprendre à des jeunes adolescents, la chinoise commencera toujours de manière prudente. Elle n'a fait que gagner en patiente, par ailleurs. Avec Shinji, elle a du en faire preuve, donc, elle applique son savoir de maman sur ses élèves. D'ailleurs, c'est une bonne patte. Rien ne dérange madame Chu-Jung pour faire une bonne action, ou aider ses élèves. Les voir malheureux la rend aussi triste... Et elle sait parfaitement qu'un enfant ne s'épanouit que dans le bonheur. De plus, elle est très imaginative, Lei place donc aisément l'improvisation en tête, mais l'interprétation ne la dérange pas. Jouer est la chose à laquelle elle aspire, que ce soit en interprétation ou en invention, elle trouve son bonheur partout, du moment que ça reste sur les planches. Lei prend un plaisir incomparable. Mais avec la naissance de Shinji, elle a dû arrêter et se concentrer sur ses études pour avoir un boulot convenable. Lei reste une personne agréable avec qui on peut parler sans complexe, de ses maux d'amour comme si elle était une copine. L'asiatique reste quelqu'un d'assez jeune dans sa tête.

« Je suis originaire de Shaanxi, 36 050 000 habitants. Da-Xia et Shou-Hsing Chu-Jung, ils font parti de ces habitants, ainsi que ses quatre enfants. Kuan Ti, Wang Wu, Shou-Hing et Lei. Je suis la petite dernière, mais aussi l'unique fille de la famille. Nous sommes une famille bien modeste, mon père travaille dans un restaurant et ma mère s'occupait de nous. Je peut dire que mon enfance n'a pas été dorée, mais elle n'a pas été déplaisante non plus. Étayer mon histoire? Je crois que c'est impossible pour moi.

Mon adolescence est tout aussi paisible. Enfin... Mon frère Wang Wu a malheureusement basculé dans le mauvais côté de la société, choisissant de rejoindre la racaille de la mafia chinoise plutôt que de se trouver un boulot "simple". Oh ça avait commencer par des petits boulots, et il a terminé par avoir une véritable place dans cette seconde famille. Kuan Ti voulait faire comme papa, d'ailleurs Shou-Hsing était très heureux de voir que son fils aîné essayer de suivre ses traces. Mon autre frère, Shou-Hing cherchait encore sa voie, mais il allait très certainement s'orientait vers la cuisine aussi. Quant à moi, je restais dans les jupons de ma mère. Non pas par timidité, mais parce que je ne pouvais pas trop me libéré de cette famille où le sexe masculin est dominant.

Je continuait de vivre ma vie de jeune fille normalement, tandis que pendant mes années de collèges, j'ai rencontré celui qui sera mon futur concubin ainsi que le père mon fils. Donc, vous l'auriez remarqué, je possède toujours mon nom de jeune fille, vous en concluait que je ne suis pas marié et que Shinji porte mon nom, et non pas celui de son père. Nous l'avions décidé ainsi. D'ailleurs, Shinji est maintenant âgé de douze ans, faites un rapide calcul pour déterminé qu'à sa naissance, j'avais tout bonnement dix-huit ans. Ah oui, quand mes parents ont appris la nouvelle, il n'était pas très content, si l'on peut dire ça comme ça. Quant aux parents de Heng, eux, ils étaient plutôt contents, c'est même grâce à eux que mes parents on digéré la nouvelle. De plus, lors de la naissance de Shinji, Wang Wu avait décidé de pratiquer des activités illicites, ce qui ravit alors toute notre famille.

Cependant, j'ai dû arrêter de me produire sur les planches, de plutôt me concentrer sur mes études car je me devais de trouver un emploie stable pour mon enfant. Heng en a fait de même. Les années suivantes, nous avons obtenu nos diplômes sans aucun problème, et Heng a pu obtenir un métier convenable. Par la suite, il fût muté au Japon, ainsi donc, nous débarquions au Japon, j'ai d'ailleurs entendu parler de la pension Shuwan, l'académie pour les jeunes talents, que ce soit dance, théâtre, musique ou les arts. Le théâtre m'avait à ce point manqué que je m'était tournée vers l'improvisation. Pourquoi ne pas enseigner une chose qui semble facile, mais qui, en réalité, demande beaucoup de réflexion à des jeunes? »

Tu nous donnes ton petit nom ? Appelez-moi Zatan.
C'est quoi ta date d'anniversaire ?Deux janvier ♥
Tu te débrouille comment en RP :Je fais entre 500 à 1200mots. (Oui, je compte en mots xD)
Tu seras là souvent ? Normalement, je devrais être là tout le temps. \o
On t'a pas encore demandé, mais pourquoi t'es là ? Comment tu as trouvé ce forum ? Par hasard, il me semble. x)